Les Néerlandais sont-ils vraiment tolérants ?
De quoi les Néerlandais sont-ils particulièrement fiers ? De Max Verstappen, leur champion du monde de Formule 1, certes. Mais aussi de leur grande ouverture d’esprit. Culturellement, le peuple néerlandais est très tolérants. C’est une très bonne chose : la tolérance est une valeur fondamentale qui nous permet de vivre tous ensemble en bonne intelligence et de se moquer des voisins Gaulois qui passent leur temps à se taper dessus et à manifester. Mais ce n’est pas tout ! La tolérance, c’est aussi un concept très utile derrière lequel se planquer pour ignorer toutes les agressions systémiques, et ça, c’est très pratique !
Les Néerlandais apprennent-ils à uriner debout ou assis ?
Selon un article paru en 2015, 43 % des Néerlandais urinent assis. Ce chiffre est surprenant, mais pas aussi surprenant que la vision d’un homme en pleine action, alors qu’on a été élevé dans l’idée qu’un mec ça pisse debout, nom de Dieu ! Et c’est bien pour se défaire de cette image néandertalienne que certains Néerlandais (et pas seulement, l’idée semble se répandre à l’étranger) font leur petit pipi dans cette position. La classe et le besoin de modernité ne sont visiblement pas les seuls responsables de cette pratique que j’imagine être la plus confortable des deux options (Même si, franchement, je n’en sais rien, je n’ai jamais essayé le dispositif féminin prévu à cet égard.)
Post-partum : tout n’est pas rose au pays des tulipes
Les Néerlandais sont cités en exemple pour leur approche “naturelle” de la grossesse et de l’accouchement. Sur Francine à vélo, nous avons eu l’occasion d’aborder le sujet : que ce soit dans CET ARTICLE DÉDIÉ, lors de L’EXPÉRIENCE TOUCHANTE vécue par l’une de nos lectrices ou encore lorsque Delphine Petit-Postma A PARTAGÉ SA PASSION pour son métier de Kraamzorg.
Mais qu’en est-il du post-partum ? Est-il plus beau aux Pays-Bas qu’ailleurs ?
Tout comprendre de la grève des employés de la NS
Depuis quelques mois, les employés de la Nederlandse Spoorwegen dénoncent bruyamment leurs conditions de travail. Salaires minables, horaires à rallonge, plannings chaotiques, la société ferroviaire a visiblement mal anticipé les conséquences de la pandémie de Coronavirus et l’inflation qui a suivi.