Expatriation : prison à ciel ouvert pour les femmes victimes de violences domestiques

Aussi excitante et foisonnante soit l’opportunité, l’expatriation est également synonyme de vulnérabilité et de stress dont les manifestations varient selon les individus. Derrière le rêve d’une grande aventure, les défis associés modifient l’équilibre ou le fonctionnement du couple, comme l’explique Lauriane Pfeffer. La psychologue clinicienne est spécialisée dans les violences fondées sur le genre :

L’expatriation peut venir fragiliser le couple, il faut être solide pour partir en expatriation, savoir communiquer efficacement et faire confiance à l’autre, car on est dans un cadre où tous nos repères changent. Lauriane Pffefer

Maastricht: le plus fous des carnavals

Le carnaval serait apparu aux Pays-Bas pendant le moyen-âge avec jeux, déguisements, combats de coqs et jeux d'argent. Et après avoir disparu pendant presque trois siècles, les Néerlandais les ont relancés au début du XIXe siècle pour conserver leurs racines et leur culture alors que les Pays-Bas étaient sous domination française. Le carnaval était célébré comme une fête religieuse, principalement dans les provinces du sud, à majorité catholiques. Aujourd’hui, la signification religieuse du Carnaval aux Pays-Bas a disparu mais l'âme de la célébration est restée. A Maastricht, la fête a été “officialisée”, après la Seconde Guerre Mondiale, avec la création du comité organisateur De Tempeleers.

Le carnaval serait apparu aux Pays-Bas pendant le moyen-âge avec jeux, déguisements, combats de coqs et jeux d’argent. Et après avoir disparu pendant presque trois siècles, les Néerlandais les ont relancés au début du XIXe siècle pour conserver leurs racines et leur culture alors que les Pays-Bas étaient sous domination française.
Le carnaval était célébré comme une fête religieuse, principalement dans les provinces du sud, à majorité catholiques. Aujourd’hui, la signification religieuse du Carnaval aux Pays-Bas a disparu mais l’âme de la célébration est restée.
A Maastricht, la fête a été “officialisée”, après la Seconde Guerre Mondiale, avec la création du comité organisateur De Tempeleers.

Recette : Comment se chou-chouter en janvier

C’est le moment de laver le chou pointu et de le couper en quartiers. On les dépose sur une nouvelle plaque et c’est parti pour un petit soin au pinceau : On badigeonne le chou avec la marinade miso avec amour. On recouvre du papier d'aluminium et c’est parti pour 30 minutes au four. Une fois le chou cuit, on retire le papier aluminium et ça repart pour 10 minutes sur position grill, pour une texture croquante.

C’est le moment de laver le chou pointu et de le couper en quartiers. On les dépose sur une nouvelle plaque et c’est parti pour un petit soin au pinceau : On badigeonne le chou avec la marinade miso avec amour. On recouvre du papier d’aluminium et c’est parti pour 30 minutes au four. Une fois le chou cuit, on retire le papier aluminium et ça repart pour 10 minutes sur position grill, pour une texture croquante.

Expat’ aux Pays-Bas : comment affronter l’hiver néerlandais ?

Certes, nous ne sommes pas des ours, mais nous sommes, comme eux, sensibles à notre environnement et il va falloir les imiter un peu. Même si nous ne pouvons pas nous enfermer à double tours et disparaître pendant plusieurs mois, dès que les jours raccourcissent, ralentir nos activités reste notre meilleure option. Pour cela, il nous faut, en premier lieu, ne pas faire l’autruche (normal, on imite l’ours, on a dit), et accueillir l’arrivée de l’automne et de l’hiver. Accepter et comprendre que chaque saison nous invite à suivre un rythme qui lui est propre serait la clé de notre bien-être. Les apéros, qui s’éternisent et s’accumulent, sont pour les longues soirées d’été et non les froides nuits d’hiver. Dès la fin de la saison estivale, choisissons nos sorties nocturnes avec soin. On privilégie la qualité à la quantité. En faisant ainsi le tri, nous économisons notre énergie et évitons le classique burn out automnal. Cela nous permet aussi d’amorcer la « saison morte » en douceur. On ne passe pas de La Macarena à Sinterklaas kapoentje, en un claquement de doigt. L’idéal serait également de ralentir côté boulot et d’opter pour plus d’activités cocooning au fur et à mesure que l’hiver s’installe.

Déplacement en terrain miné : les biais cognitifs dans le recrutement

Un biais cognitif, c’est une autoroute de la pensée qui nous permet de fonctionner au quotidien. Et oui, ce n’est pas un problème d’avoir des biais cognitifs, d’ailleurs tout le monde en a ! Nous recevons 11 millions de stimuli par seconde ! 11 millions ! Autant dire que nous n’avons pas la capacité de traiter individuellement chaque stimulus. C’est bien pour cela que notre cerveau fonctionne en prenant des raccourcis. Mon corps a une sensation de froid ? Je me couvre : pas besoin de tergiverser ou de se demander si on a besoin de se couvrir. Je dois me déplacer ? Mon corps se met en mouvement sans que j’ai besoin de réfléchir à mettre un pied devant l’autre.

Un biais cognitif, c’est une autoroute de la pensée qui nous permet de fonctionner au quotidien. Et oui, ce n’est pas un problème d’avoir des biais cognitifs, d’ailleurs tout le monde en a !

Nous recevons 11 millions de stimuli par seconde ! 11 millions ! Autant dire que nous n’avons pas la capacité de traiter individuellement chaque stimulus. C’est bien pour cela que notre cerveau fonctionne en prenant des raccourcis.

Mon corps a une sensation de froid ? Je me couvre : pas besoin de tergiverser ou de se demander si on a besoin de se couvrir.

Je dois me déplacer ? Mon corps se met en mouvement sans que j’ai besoin de réfléchir à mettre un pied devant l’autre.

Francine à Tipeee ! Soutenez Francine avec un tip

Francine à Tipeee ! Soutenez Francine avec un tip Soutenez Francine en lui laissant un tips, (ou un pourboire, en français).  Après trois ans de bons et loyaux services, Francine cherche le moyen le plus juste pour continuer à fonctionner, sans devoir sacrifier sa qualité, ou sa facture d’électricité (d’autant que sans internet, elle n’ira […]

Hors du Cadre

Entrée d'immeuble typique amstellodamois, avec la cage d'escalier directement ouverte sur la rue. Marches noires, mur blanc.

Amsterdam est une ville qui se prête aux jeux de composition et de décomposition graphique. Sobre au premier abord, parfois même uniforme, l’architecture des quartiers qui bordent l’ultra centre est passionnante à décortiquer. Cette photo joue sur les différents plans et éléments de perspective. La brique, le carrelage, la frise, les marches et la pierre fusionnent en une unité presque parfaite. La lumière et le blanc d’un intérieur contraste avec les couleurs sombres de l’extérieur et invitent à entrer. (modifié)

Rencontre avec Aimée De Jongh

Mes plus grandes influences étaient probablement les mangas que j’ai lus quand j’étais adolescente. J’étais obsédée par ce style de dessin de bande dessinée japonaise et je voulais dessiner aussi bien que les « maîtres ». À force de pratiquer, j’ai découvert qu’il faut en fait beaucoup de travail pour être bon… Alors j’ai persisté. J’ai toujours eu une bonne éthique de travail depuis. Et le style manga fait toujours partie de mon travail.