Monter sa société aux Pays-Bas : du rêve à la réalité, 3 chefs d’entreprise racontent

Élever des chèvres dans le Larzac, ouvrir sa paillote au Guatemala, vendre des bracelets brésiliens à Ibiza, nous avons tous rêvé (ou presque) de tout plaquer pour vivre une vie qui “reflète qui je suis au fond, tu vois ce que je veux dire”.

Pour la plupart d’entre nous, ces fantasmes le resteront. C’est très bien comme ça, “vendre des bracelets brésiliens à Ibiza” ne figurera jamais sur un business plan raisonnable. Ils ont toutefois l’avantage de nous faire du bien et parfois même de nous pousser à nous interroger.

Mais que se passe-t-il pour ceux qui se lancent vraiment ?

La rentrée aux Pays-Bas : le blues de l’expat’

Septembre est synonyme d’automne, de fin des vacances et donc de rentrée, et je ne vous parle pas de rentrée des classes, non. Si, comme moi, vous avez passé tout l’été à sillonner les routes ensoleillées, le retour aux Pays-Bas peut être quelque peu déstabilisant.

Dis, comment tu es arrivé.e aux Pays-Bas ?

On vit ici depuis plusieurs années. On parle (un peu) la langue. On dîne à 18h. On est même parfois en couple avec des locaux. On oublierait presque on n’a pas toujours vécu ici. Pourtant, la plupart d’entre nous ne se destinaient pas à vivre un jour aux Pays-Bas. Alors qu’est ce qui a motivé notre arrivée ?
Dans ce nouveau format, une Francine chronique son arrivée avant de vous donner la parole pour découvrir vos histoires !

Amsterdam, (enfin) une prostitution assumée et décomplexée

C’est un fait avéré : la prostitution existe depuis la nuit des temps. De la prostitution sacrée de la Mésopotamie antique aux « dames de plaisir » du Bois de Boulogne, en passant par les courtisanes vénérées de l’Angleterre victorienne, la plus vieille profession du monde a traversé les âges, enveloppée de tabous. Pourtant, alors que de nombreuses villes européennes relèguent encore les prostituées dans l’ombre, Amsterdam se tient fièrement, sans complexe.

8 activités en français quand on habite à Amsterdam

Aucun doute : l’intégration dans notre pays d’accueil passe par l’apprentissage de la langue. Mais, comme on le sait aussi, le néerlandais, ça n’est pas toujours ons kopje thee* et, même s’il est très facile de trouver des activités en anglais, on apprécie parfois de pouvoir interagir dans notre langue maternelle. Pour cette raison, Francine a fait le tour des activités en français de la ville aux 165 canaux. Elle en a déjà testé quelques-unes, et prévoit d’en essayer d’autres très bientôt. En attendant, on vous en parle ici pour que vous puissiez essayer celles qui vous tentent et vous faire un avis. Six activités en français à pratiquer quand on habite à, ou près d’Amsterdam : c’est parti !